الاثنين، 19 أكتوبر 2009

Arts et culture, la dette envers Ben Ali

Par Hafedh Djedidi

Il ne se trouve pas aujourd’hui un seul tunisien qui ne reconnaisse les réalisations importantes qui ont touché le secteur de la culture et des Arts. Pas un seul artiste qui ne reconnaisse objectivement l’impact positif, voire constructif que les décisions de Ben Ali ont eu sur un secteur et une population qui, ailleurs, souffrent de lacunes criardes et regardent le modèle tunisien comme on regarde une eau vitale qui vous fuit entre les doigts.

Ces décisions qui ont couronné des sondages d’opinion, des travaux de commissions, des débats entre les concernés ont dévoilé au monde entier le degré de maturité, la clairvoyance et l’audace à la fois percutante et mesurée de la première instance de décision politique tunisienne. Ces décisions qui constituent des acquis indiscutables dépassent souvent en teneur, en bienfaits et en originalité des décisions analogues dans des pays européens qui ont plus de traditions que nous en matière de gestion de la vie culturelle et artistique.

En énumérant les réalisations infrastructurelles, les acquis les attentions dont bénéficient désormais les gens d’arts et de culture (Producteurs, éditeurs, gestionnaires d’espaces culturels, cinéastes, compositeurs, écrivains, musiciens, plasticiens, hommes de théâtre et la liste des bénéficiaires est encore longue) : construction de nouveaux complexes culturels, équipements en adéquation avec les nouvelles technologies, alimentation constante des bibliothèques régionales, aides à la création, subventions, soutien financier des produits culturels et artistiques, couverture sociale pour les intermittents du spectacle, etc, on se rend compte de deux choses. La première, c’est le vaste éventail des intervenants qui rythment la vie culturelle et artistique du pays et travaillent au rayonnement de son image de marque tant à l’intérieur qu’à l’extérieur. La deuxième, c’est la prise de conscience du Pouvoir de l’impact réel de la prise en charge du secteur et de ses heureuses retombées tant sociales qu’économiques et même politiques. Voilà donc une réalité qui met au pied du mur la synthèse assertive du grand sociologue français Pierre Boule qui dit que « Le pouvoir n’aime les intellectuels que morts ». Depuis la Tunisie, le Président Ben Ali, en tant qu’homme de pouvoir, donne au monde le meilleur exemple de la prise en charge du seul secteur où s’expriment réellement nos humanités et se travaillent la trace de l’identité et du patrimoine.

Nul doute que la dette des gens d’arts et de culture est grande envers le Héros du Changement. Cette dette, les intellectuels et les artistes tunisiens qui ont enregistré, à leur actif, la clairvoyance et l’audace de Ben Ali, la paye tous les jours en créativité. Mais le moment est venu pour cette crème de la population active tunisienne d’exprimer aussi autrement sa reconnaissance en allant aux urnes le 25 octobre et en votant Ben Ali, le seul choix à faire, le seul candidat que la Tunisie attend.

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